Skull Gwen

Bonjour Gwen aka Skull Gwen !
Salut ! 

Tiens, d’emblée, une question que, personnellement, je déteste qu’on me pose : que fais-tu dans la vie ?
(rires) Et bien, déjà, je souris parce que je m’attends à la réaction des gens. Et je réponds simplement : “je fais des cordes de guitares et de basses”. Généralement, il y a un temps de latence puis “tu fais quoi ??” ce à quoi je réponds “je fais des cordes. Je fabrique des cordes…”

Ah mais oui ! Il faut bien que quelqu’un les fabrique à un moment, ces cordes.
Oui, les gens imaginent qu’il faut juste appuyer sur un bouton et boum t’as une corde mais non, non.
Et ça me fait marrer car c’est un peu toujours la même histoire. Avant d’être dans les cordes, j’avais une autre vie car j’étais archéologue. Donc, pareil, quand on me demandait ce que je faisais dans la vie, je faisais déjà face à ce temps de latence en réaction.

Pour les néophytes, et pour le clin d’oeil à Jean Driege, le fameux « chef metalleux » et notre ami commun qui m’envoie à toi : c’est quoi la recette de cuisine d’une bonne corde de guitare ?
A la base, il faut des matières premières de qualité ! Tu peux essayer de faire sonner un fil de fer, il ne sonnera pas. Donc de la qualité avec le minimum d’impuretés possible. Par exemple, nous n’utilisons pas du tout de nickel, pour les allergiques, c’est super pratique ! On a le taux d’impuretés le plus bas du marché. Ça offre des sons vraiment brillants, claquants, purs.
Ensuite, il y a le savoir-faire. On est les spécialistes du custom. Toi, le musicien, tu as ton accordage, nous calculons le tirant requis et on trouve le jeu spécifique pour toi.

Ce custom, c’est vraiment ce qui vous distingue de la concurrence ?
Oui, c’est notre spécificité : donner la possibilité à n’importe quel musicien de trouver le jeu (de cordes) qui est parfaitement adapté à son besoin.

Pour la petite histoire, c’est le boss, Carlos Pavicich, bassiste professionnel, qui a galéré toute sa vie pour trouver les cordes adaptées à son besoin, à son type de jeu. Et ce, surtout quand il s’est mis à la basse piccolo dans les années 80 : tu imagines pour trouver un jeu custom ? Il fallait 4 jeux standards différents puis recomposer comme tu peux. Il est allé voir plein de marques pour tenter d’avoir son jeu custom et ça ne se faisait pas. Donc il a créé sa solution.
Et c’était le début d’une belle histoire !

Sur les réseaux sociaux, tu te présentes en tant qu’Artist Relations Manager. Quelle est la journée-type d’une responsable des relations artistes pour une marque de cordes de guitare ??
Alors, le truc, c’est que, en fait, je mens un petit peu…
Hum hum…
Je suis la fille du boss… et donc future repreneuse de Skull Strings. Artist Relations, ça a été mon premier poste mais, du coup, je multiplie un peu tous les postes autour.
Oui, on te voit même à la production sur ton Instagram !
Exactement. Je suis le contact pour les musiciens et les luthiers. Je gère les réseaux sociaux. Je gère le service après-vente et le service conseil. Et je suis également en production avec les collègues l’après-midi à l’atelier. Et, le soir, rebelote !

Je ne vais pas te questionner sur la genèse et le placement marketing de Skull Strings car tu viens de l’évoquer à l’instant. On peut trouver l’information détaillée assez facilement pour peu qu’on la cherche. Mais, par contre, je veux te demander : pourquoi “Skull” ? D’où vient l’idée de ce “skull” ? (sachant que, à titre personnel, j’aime énormément les skulls)
Alors, oui, beaucoup de monde me demande si c’est parce que j’étais archéologue auparavant (découvrir des sépultures, c’était ce que je préférais) que mon père a choisi des skulls. Et non ! Moi, j’étais encore au lycée quand la marque a été créée ! Non, il fallait un truc qui marque. Les musiciens qui étaient le plus en demande de solution spécialisée, c’était les metalleux ! Les drops, les low-tunings, etc… (ndlr : différentes façons d’accorder son instrument) Et ça n’existait pas à l’époque. On a été les premiers au début des années 2000. Et il fallait donc un visuel qui parle aux metalleux, c’était donc tout trouvé. Et puis c’est classe !

OK pour les metalleux MAIS… cela veut-il dire que si, par exemple, Vianney se pointe avec le souhait d’être endorsé, vous allez… ? 
Ça fait déjà quatre ou cinq ans que notre marque s’ouvre à d’autres styles musicaux. J’ai des artistes de funk qui ont rejoint la famille par exemple. Donc, franchement, si Vianney a un besoin spécifique et que nos cordes customisées conviennent, il est le bienvenu ! Comme ça, au passage, je peux rappeler aussi qu’on fait des cordes pour acoustiques, classiques et instruments traditionnels. Dans la famille, toujours pour l’exemple, on a également des artistes de mandole, de mandoline, de charango… 
Bon, donc, ok pour Vianney ! On passe le message. On sait où il peut trouver les cordes idéales pour sa guitare Lâg signature.

Je suis un guitariste lambda et je veux vraiment définir mon jeu de cordes personnalisé. Combien va-t-il m’en coûter ?
Ce ne sera pas plus cher qu’un jeu de cordes standard. Bien sûr, le prix va augmenter avec le tirant. En passant par le module en ligne sur notre website, tu peux définir et commander ton jeu idéal.
C’est vraiment intéressant et j’ai le sentiment que ça ne se sait pas suffisamment.

Je t’ai vu en shooting photo avec une guitare électrique – une Ibanez pour être plus précis : en joues-tu ?
Alors précision : ce n’était pas mon Ibanez. Je voulais ramener ma propre guitare parce qu’elle est vraiment classe mais le photographe n’a pas voulu… Mais c’était marrant. Même Ibanez France a bien aimé et repartagé les photos donc c’était cool.
Moi je suis pianiste de formation. Je suis passée par la basse quand j’étais dans mon groupe au lycée puis à la guitare en autodidacte et, plus récemment, je t’avoue que j’ai pris un prof.
Hum, prendre des cours est toujours une bonne idée.

Je reviens sur le shooting : pourquoi ta guitare perso n’a-t-elle pas été acceptée par le photographe ?
Ma guitare, c’est une hybride magnifique ! Je l’adore ! C’est un corps de Charvette blanc avec des coulures rouges et noires, un manche Godin, des micros Alex Axe et des cordes Skull Strings en acier inoxydable. Et elle sonne du feu de dieu ! Enfin, quand quelqu’un de doué joue dessus, elle sonne du feu de dieu ! (rires)
Et comme le photographe travaille en noir & blanc, il avait peur que ça rende mal à cause de la déco de ma guitare.
D’accord, je vois.

Restons sur la guitare : quel est le meilleur riff pour tester un jeu de cordes Skull Strings ? (ndlr : un riff est une courte phrase musicale à la mélodie simple et au rythme marqué, répétée par un instrument – cf. intro de “Smoke On The Water” de Deep Purple, le riff de guitare rock le plus connu au monde)
Alors… Il n’y a pas de meilleur riff pour tester nos cordes. Il faut que ce soit ton riff à toi ! Celui que tu kiffes ! Celui que tu as poncé, poncé, poncé. Sur lequel tu as développé ton son et ton oreille. A partir de là, tu peux commencer à discuter.
Hum hum. C’est la meilleure réponse possible.

Tu as collaboré avec United Guitars. C’est quoi ton histoire avec ce projet ? (ndr : United Guitars est un projet collaboratif français qui réunit tous les ans l’élite des guitaristes pro et semi-pro sur un album voire double-album de compositions de ces derniers)
J’ai découvert United Guitars avec le premier volume. Au second volume, ils ont eu besoin de cordes pour leur tombola alors ils m’ont appelé. Je leur ai alors proposé un packaging personnalisé et, depuis, on travaille ensemble tous les ans. C’est un projet que je soutiens encore aujourd’hui car j’y ai rencontré des personnes formidables, humainement parlant, et des zicos qui sont de vrais tueurs !
Oui, c’est un peu la crème de la crème française.
Oui, et c’était très français au début mais ils s’ouvrent de plus en plus avec des artistes internationaux en featuring et c’est… du feu de dieu ! Moi, je valide ! 
Et si tu peux passer la petite mention : le 4 décembre, à Paris, il y a le concert United Guitars !
Hum ok. Tu y seras ?
Malheureusement, c’est un lundi et c’est un peu difficile de faire l’A/R un lundi soir. Mais je ne suis pas complètement sûre de ne pas me claquer un A/R quand même… 

J’ai écouté ta playlist sur “Playlist de l’espace” ! Très sympa à écouter, d’ailleurs, cette interview de toi. D’emblée, on constate un vrai éclectisme.
As-tu toujours été metal ou es-tu venue au metal “pour le travail” ?
Hum, il y a un peu des deux, en fait. J’ai commencé à écouter du metal, j’avais 11 ans. Si tu veux une petite histoire, j’en ai une !
Bien sûr !
Quand j’avais onze ans, donc, mon Papounet m’a emmené au Musikmesse de Francfort. Première fois de ma vie. C’était encore un grand salon européen à cette époque. A un moment, je vois Papounet qui part en vrille, qui coure dans tous les sens, qui me fout à côté d’un mec chevelu. Et tu vois sur la photo : je suis terrifiée, littéralement terrifiée. Il parlait anglais donc, à onze ans, je ne pigeais pas un broc. Le mec se barre. Mon père a le smile. Mais… c’est qui ? Bah c’est Iron Maiden ! Je le regarde : mais c’est qui Iron Maiden ??
Du coup, j’ai été déshéritée (rires). Ouais, c’était Janick Gers. Pour Iron Maiden, j’ai deux photos à vingt ans d’écart : Janick Gers à onze ans et Nicko McBrain à trente ans.

C’est bon ça !
Et, sur les deux photos, à vingt ans d’écart, je suis terrifiée ! (rires)
Donc j’ai commencé le metal tôt mais c’est vrai que, ado, je pouvais écouter Norah Johns, Jamiroquai, Metallica, Iron Maiden, Ben Harper et j’ai vraiment commencé à être très metal à vingt-quatre ans avec ma colloc’. On se faisait découvrir des trucs et je suis vraiment restée dans le style.

Ta “playlist de l’espace” était très cool, te disais-je, mais, maintenant qu’on est entre nous, as-tu un petit plaisir musical coupable (qu’on a tous, hum) que tu n’as pas osé y inclure ? Allez…
Je… dois vraiment me griller comme une cacahuète là maintenant ?
Aaaaah oui.
OK. Alors il y a une zik qui me fait toujours bouger. Je ne peux rien faire contre ça. C’est… “Get busy” de Sean Paul !
Oh ça va. Ca passe !
Et je l’assume complètement, hein !
Haha. Merci pour cette révélation. Ca restera entre nous bien évidemment.

Ndr : a posteriori, nous avons trouvé un compromis intéressant :

Tu n’es pas sans savoir qu’HexaLive est focalisé sur la scène hexagonale, disons. Aussi, j’aimerais, si tu veux bien, te faire écouter deux titres et avoir ton ressenti.

Le premier est Bad Situation (ndr : en interview sur Hexalive le 20 octobre dernier)
Hasard du calendrier, j’avais fait écouter à Jean Driege leur single précédent (“Bruised And Battered”) et ils viennent tout juste de sortir un nouveau titre : “Fairweather Friend”.

Ce titre ouvre leur premier album qui sort le 30 mars 2024.
Leur ferais-tu une place dans ta playlist ?
Et bien je les ai découvert au FuriosFest cet été. En fait, j’avoue : je connaissais Aziz Bentot pour sa chaîne Youtube mais je n’avais jamais écouté Bad Situation. Là, je les ai vu en live et, franchement, ça m’a bien plu alors j’ai commencé un peu à rentrer dans leur univers. En live, ça avoine bien et le public a été super réactif. On a passé un très très bon moment. J’aime bien ce rock bien punchy avec ces mélodies qui te rentrent bien en tête. Ça t’accroche bien ! Et la voix claire d’Aziz avec ce côté bien énervé, ça a vraiment tout pour me plaire. Donc je la rajoute dans ma playlist sans problème !
D’ailleurs, question philosophique : dirait-on que Bad Situation est metal ou heavy rock ?
Franchement, je dirais plutôt heavy rock. Mais ils ont tout pour très bien passer dans les festivals de metal. Tu remarqueras d’ailleurs que ces petits fest’s font de plus en plus d’insertions rock. Moi, je trouve vraiment intéressant de mixer ainsi les familles.

Le second est de Monnekÿn avec le titre “Release The Tribe” issu de leur premier album “Ape Home” sorti en 2022 et dont l’official vidéo est en ligne depuis un mois environ :

C’est un style que je n’ai pas trouvé sur ta “Playlist de l’espace” alors j’aimerais assez savoir ce que tu en penses. 
Et bien, Monnekÿn, ils font partie de la famille Skull Strings depuis cet été !
Ah je ne savais pas. D’accord !
Donc voilà ! Moi, je ne les connaissais pas avant. Alors j’ai découvert leur univers. Ca m’a bien plus aussi. Ce n’est pas ce vers quoi je serais allée directement. Mais à les découvrir, à les écouter, franchement, j’ai bien aimé. J’aime bien les styles bien mixés où tu as plein d’influences. Cette sorte de néo trap metal bien hip-hop. Ça apporte un truc en plus ! J’ai vraiment bien kiffé. Je les ai d’ailleurs chroniqués en juillet dernier pour L’Antre, l’Emission Du Metal (ndr : sur Radio Transparence) !
Ah le monde est petit.
Je pense qu’on va bientôt reparler de Monnekÿn…

Sinon, connais-tu la marque de bijoux Sing A Song qui recycle des cordes de guitare pour en faire des bijoux ?
Alors, oui, je les connaissais parce que j’ai un pote nommé Dempsey Rob Morel, très bon guitariste au passage, qui était modèle pour cette marque à l’époque. J’ai donc découvert. C’est très rock côté garçons et assez fin et délicat pour les filles. Mais moi, je ne suis pas le genre de fille qui porte des bijoux. J’ai plutôt tendance à me les tatouer.
Mais j’avoue : j’avais commencé à en faire il y a quelques années. Avec les chutes de cordes. J’avais essayé. Bon, clairement, c’est un boulot en soi, hein !
Mais alors on pourrait imaginer une collaboration en série limitée Sing A Song / Skull Strings ?
Franchement, j’adorerais !
J’avais cherché pendant quelques temps comment recycler mes cordes. J’avais contacté les Beaux-Arts de Metz pour voir si les étudiants artistes ne pouvaient pas en faire quelque chose. Malheureusement, ça ne s’est pas fait. Mais, transformer mes cordes dans un nouveau mouvement artistique différent de la musique, je trouve que c’est un des plus beaux recyclages qu’on puisse imaginer.
Donc, Sing A Song, c’est quand vous voulez !
Qu’on se le dise !

Quelle est l’utilisation la plus WTF que tu aies vu d’une corde de guitare ?
Je n’en ai pas vraiment vu. Tiens, j’aurais aimé voir une grande sculpture faite de milliers de cordes de guitare mais personne ne m’a encore offert le bonheur de voir ça.
Non, à la limite, je parlerais des tirants fous que certains demandent !
Quel est le tirant le plus fort demandé à ce jour ?
En guitare, c’est du .100. Et du .175 pour la basse. Il y a aussi les guitares hybrides, par exemple la “Métisse” de Berg Guitares, où tu as 2 cordes de basse pour 4 cordes de guitare.

Décembre 2023, c’est les 20 ans de Skull Strings ! Allez-vous fêter ça ??
Franchement, ce serait mon rêve ! Faire un “Skull Fest” qui réunirait toute la famille Skull Strings et pas que ! Petit problème : la famille est répartie entre l’Europe, le Chili, les USA et l’Indonésie. 
Ouais…
Ce serait 15 jours de festival ! J’espère le vivre un jour !

Et, ensuite, où vas-tu dans la vie ? Où seras-tu dans deux ans ? dans dix ans ?
Toujours aux côtés des fondateurs de Skull Strings ! Avec une plus grosse équipe à tous les niveaux ! Avec plein de nouveaux skills, plein de nouveautés et toujours plus de solutions adaptées aux musiciens !

Penses-tu que tu en auras un jour assez des tous ces “fests” et tous ces salons ?
Franchement, non ! Je me vois vieille avec mon déambulateur en train de head banguer avec mon arthrose cervicale jusqu’au bout !

Maintenant, j’ai aussi une question surprise pour toi. Tu es prête à tout ? Cette question t’est posée par un proche…
La question est : “pourquoi attends-tu que ton gazon arrive aux cuisses avant de tondre ?”
(rires) Nath, je vais te tuer. Si tu sors l’enregistrement, je boude !!!!
Bien vu ! Il fallait chercher du côté de “L’Antre, l’Emission Du Metal” pour savoir qui a commis cette private joke et était très curieux de voir comment tu t’en sors…

Alors parlons un peu de cette émission de radio !
Oui, on vient de fêter les 25 ans ! Ca fait 25 ans que El Patron tient le micro ! Mélie est là depuis 5 ou 6 ans, je crois. Et moi, ça fait deux ans.
Tu t’y éclates bien ?
Ouais, franchement, j’aime bien !
Alors, être animatrice radio, c’est vraiment un boulot en soi ! Moi, faire ma petite chronique, ça me va bien. Ensuite, être en live et échanger avec les artistes, leur poser des questions, etc. c’est vraiment une discipline ! Mais oui, je m’éclate bien. Et puis c’est une jolie famille. Ce sont des amis très chers. On se marre bien. On a tous le même humour et on part bien en vrille !

Parlant de question à poser, comme tu le sais, c’est Jean Driege qui m’envoie à toi (ndr : dans son interview HexaLive du 3 novembre dernier) et il m’a fortement conseillé de te demander : “quel artiste n’as-tu pas encore rencontré et avec qui tu rêverais de pouvoir échanger ?”
Je rencontre effectivement beaucoup d’artistes mais il y en a tant que je n’ai pas encore rencontré. Si on part dans les rêves, je veux rencontrer Matt Heafy de Trivium et les musiciens d’Avatar, qui sont mes deux groupes préférés avec Falling in Reverse ! Mais j’ai un peu peur de me retrouver bloquée en mode groupie et ne pouvoir leur dire plus que : J’adoooooore ce que vous faites !!!!
D’ailleurs, toi, pour te venger, quelle question un peu piquante veux-tu lui poser en retour ? Tu peux y aller full blast !
Au risque de perdre un ami : “Jean, qu’est-ce que tu penses de la pizza à l’ananas ?”
(rires)

Toi qui côtoies des artistes pro, quel est ton unique conseil pour un artiste émergent ?
Y croire et bosser !

On approche de la fin : tu nous offrirais un selfou ? Allez…

C’est mon petit secret : pour éviter d’avoir une gueule bizarre sur les photos (parce que j’aime pas trop ça), je fais toujours une grimace !
Oh oui, ça le fait ! \m/

Enfin, vers laquelle de tes connaissances m’envoies-tu pour ma prochaine interview ?
Alors, je vais t’envoyer vers L’Antre, L’Emission Du Metal dont on parlait à l’instant avec Nath, El Patron, et Mélie Red car ce sont deux amoureux du metal et discuter avec eux est toujours un plaisir sans nom !
Et sinon, je te propose François Tuphé, un super guitariste de United Guitars justement ! Il est exceptionnel !

Et quelle question me conseilles-tu de leur poser ?
Pour Nath, ce sera juste “Pourquoi Nathaliiiiiiiiiiie ?”
Et pour François, et bien demande-lui donc de te parler de “Life Is A Clock” !

Interview réalisée par Stedim (Instagram)

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