Le samedi 14 septembre, j’ai eu le plaisir de me rendre au festival Les Givrés à Givrand (Vendée) pour sa 15è édition, placée sous le signe de la piraterie. Aussi n’ai-je pas été surprise de croiser là-bas une foule de bandanas tête de mort et de chapeaux de flibustiers.
Mais l’accueil était très sympa, les pirates vraiment cools et on ne manquait pas de ravitaillement. L’affiche promettait de démâter n’importe quel navire corsaire.
Joyeux Bordel
C’est en effet les vendéens de Joyeux Bordel qui ont largué les amarres de la soirée. Le rock festif de cette formation, bien connue des gens du cru, a su mettre dans l’ambiance le public qui se désaltérait non de rhum mais de bière, boisson essentielle à la bonne tenue d’un festival.
Back up to the Rock
Un moment de pause a ensuite été accordé aux matelots venus de tous horizons avec le groupe Back Up to the rock, qui assurait les interludes de changement de scène en reprenant des airs de rock des années 50 à 70. Ils ont embarqué le public grâce à leur vaisseau multi instrumental. C’était chantant, c’était dansant, tout cela accompagné de paillettes et de cuir, bref tout le monde a apprécié.
Taïro
c’est ensuite avec Taïro que nous avons pris le large vers des horizons chaleureux. Après le cracheur de feu de l’interlude, ses airs ensoleillés de reggae ont su réchauffer le public, qui s’était déplacé nombreux pour venir l’écouter.
Tagada Jones
Tagada Jones (ndlr : vu cette année au festival Les Gueules Rouges, ou à on n’a plus 20 ans) a ensuite hissé la grand-voile. On ne présente plus le groupe de punk hard core aux airs engagés mené par Niko, l’emblématique chanteur à la voix si reconnaissable, qui a déclenché dans le public pogos, slams et pits.
Les Givrés à Givrand, conclusion
Je n’ai malheureusement pas pu rester pour le coup de semonce de la soirée, le groupe Hilight Tribe. Ce n’est que partie remise je l’espère.
Merci à tous les pirates du festival Les Givrés pour leur accueil et merci à Hexalive.
Chronique et photos par Vanessasorinreport (Instagram / Facebook)
