Les 2èmes Rencontres HexaLive ont eu lieu le 8 décembre dernir !
Le lieu ? au Pestacle, 22 rue au Maire à Paris. Métro Arts et Métiers.
En entrée libre !
Le programme ?
La soirée a commencé à 19h30 par un concert d’Anthony Fletcher en formation avec piano, percus et guitare. La certitude, c’est que l’écoute d’ATLANTIQUE fait du bien, qu’elle laisse étrangement serein et apaisé. Magie de la musique : on croirait entendre cette eau (omniprésente), le bruit du vent, parfois doux, parfois tempête, les forêts, les grands espaces ; cette musique qui nous engage à prendre un pause dans une vie à cent à l’heure, comme si vu d’en haut, avec le recul enfin possible, le monde pouvait miraculeusement être reconsidéré avec optimisme et bienveillance…
Ce fût ensuite au tour d’Oncle Oedipe de prendre place sur scène à 21h. Actualité chargée pour ce groupe en ce moment, avec la future sortie de leur maxi et de leur clip… De cette nouvelle alchimie va éclore un son plus authentique, plus actuel, un mélange de poésie torturée aux rythmiques mélancoliques et résolument plus rock. Aujourd’hui, bien que difficilement classable, l’étiquette de » Spleen Rock » colle au groupe…
C’est le groupe Dry Can qui a clôturé la soirée à 22h. Difficile de résister à l’alchimie des voix, masculine et féminine, à la fois mélodieuses et métal, des guitares soutenues et du cadrage rythmique. Je mentionnerai pour la forme quelques influences musicales signalées par le groupe lui même telles que Pearl Jam, Soundgarden, Deftones, Incubus, Led Zeppelin, mais hors de question de considérer cet album -beaucoup trop court du haut de ses 36:59- comme un revival ‘à la sauce française’ de l’époque de gloire de Seattle…