Quand on va assister à un concert, on n’a pas toujours conscience qu’il y a plus souvent que parfois plus d’artistes dans la salle que sur la scène. Et je ne pense pas là à d’autres musicien(ne)s et chanteur(euse)s, non, pas cette fois. Cette fois, je pense aux photographes ! Tu sais, les arts médiatiques. Ces œuvres d’art qui nécessitent un part de technologie au-delà du talent, du regard, de la capacité à saisir l’instant. Ces photographes capturent au ressenti, à l’instinct, avec implication, un moment particulièrement vivant puis, plus tard, peaufinent longuement le rendu loin de toute effervescence, loin du monde, bataillant même souvent intérieurement avec leur perfectionnisme en ayant l’envie chevillée au corps de montrer au monde libre (et curieux) à quel point c’était une bonne idée d’être présent à ce moment et convaincre qu’il conviendra d’être vigilant pour ne pas manquer la prochaine occasion !
Chez HexaLive, on peut être fiers de compter bon nombre de ces artistes présents dans tout l’hexagone !
Et bien, il y a quelques jours, soit le 12 avril dernier, à La Maroquinerie, à l’occasion du passage de Cachemire dans la capitale (récit et photos HexaLive par Régis Hamelin et Bruno Aressi), notre sensible et rusé compère Bruno Aressi, a capturé, shooté, mis en boîte et donc prouvé (rien que ça !) la présence d’un autre type d’artiste, oiseau bien plus rare et tout aussi intéressant et talentueux que les photographes susmentionnés, en la personne de Nicolas Barberon ! Qui, quoi, comment, pourquoi ? Et bien, Nicolas, lui, son truc en plus, c’est le 9e art : la bande dessinée ! Il y a un rock band sur scène et, lui, il en capture l’énergie et l’intention en dessinant ! Et voilà que, en l’occurence, en résulte une chronique vraiment savoureuse dans le média CROQUE and ROLL live !, un rock band dessiné donc, que je ne saurais trop vous conseiller de découvrir si ce n’est pas déjà le cas ! Et, dans la foulée, suivre de près ce média… ce médiart ? (Website / Instagram).
Personnellement, j’aime beaucoup !
Stedim
