Après trois shoots en concert (Paloma, Rockstore et Guitare en Scène) et une interview (ma première qui plus est), il sonnait comme une évidence qu’il fallait que j’écoute le nouvel album le plus tôt possible, et que je partage mon expérience.
Striped.
Un album « strié ». De la nouveauté, on sent (comme dirait une de leur fan de la première heure avec qui j’ai pu discuter) qu’ils ont tenté de nouveaux trucs, mais qu’ils sont restés eux malgré tout.
Du blanc et du noir, du nouveau et de l’ancien, des rythmes qu’on ne leur connaissait pas forcément mais une marque de fabrique indélébile.
De la rayure (attention à vos vinyles quand même hein !) et j’en suis quasi sûre, avec mon oreille musicale : des accords en fa bémol. C’est sûrement ce qui fait toute la différence sur cet album.
Des titres qui s’inscrivent dès la première écoute comme des tubes : Wheels of Fire, Bottle for Two (la petite parenthèse « bonbon » de l’album, 1’50 de câlin musical), The Fool, On The Run, pour ne citer qu’eux.
Comme si c’était finalement des titres que l’on connaissait déjà. Ceux qu’on languit de retrouver sur scène, avec l’énergie qu’on leur connaît (Pour moi KO KO MO ça reste avant tout un groupe de scène. Le nouvel album c’est chouette, c’est beau, c’est même collector mais ce qui me rend encore plus impatiente c’est la tournée qui va avec).
Puis des titres plus en douceur, avec des démarrages plus softs comme Second Side ou Don’t let me go, où l’on reconnaît la patte KO KO MO en arrière bouche.
Et même, ne me demandez pas pourquoi (parce que !), sur le 12ème titre de l’album un petit goût « années 80s ». Je me voyais casque sur les oreilles à danser un slow avec ce garçon du fond de la classe qui me plaisait depuis la rentrée, « La boum » quoi. 6 minutes 05 pour conclure… ce nouvel album.
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